Moins de sucre et beaucoup de plaisir pendant le carême
Certains l’envisagent, peu y arrivent réellement: faire carême. Le sucre figure en bonne place sur la liste des privations. Mais si vous le faites habilement, vous ne devez pas du tout renoncer à une alimentation savoureuse. Nous vous révélons comment faire.
Le carême est la période de privation entre le mercredi des Cendres et Pâques. Mais contrairement aux deux autres traditions citées, le carême n’est plus guère pratiqué aujourd’hui. Dans le meilleur des cas, il se limite à un sentiment de culpabilité. Le sucre, auquel on renonce à contrecœur, est au centre du problème. Néanmoins, ou précisément à cause de cela, on essaie d’en réduire la consommation. Emmi, par exemple, n’a cessé de diminuer la teneur en sucre de nombre de ses produits et a lancé de nouveaux produits contenant nettement moins de sucre ajouté.
Yogourtpur sucré aux dattes
Nous vous recommandons ici plusieurs produits de l’univers Emmi qui feront du carême non pas un renoncement fastidieux, mais une période pouvant être associée au plaisir et à l’amusement. Le nouveau Yogourtpur, par exemple, ne contient aucun sucre cristallisé ajouté. Il n’a été sucré qu’avec des dattes. Certes: il a un goût moins sucré qu’un yogourt ordinaire, mais on apprécie son goût délicieux et sa touche d’originalité.
Aktifit - soutenir le système immunitaire sans sucre cristallisé
Les deux mini-yogourts à boire Aktifit Banane et Mangue ne contiennent pas non plus de sucre cristallisé ajouté. Même sans édulcorant ajouté, la mini-boisson conserve son goût fruité et te prépare à relever les défis du quotidien.
Un en-cas équilibré
Un nouveau snack, également disponible dans les rayons des magasins à partir de la fin mars, est tout aussi sain, mais riche en goût et en plaisir: «Balanced Break» est composé de trois ingrédients: du fromage, des noix et des baies séchées. L’un des compartiments contient des cubes de fromage suisse à pâte dure, l’autre un mélange de canneberges et de noix de cajou ou de raisins secs et d’amandes. Un en-cas équilibré et savoureux. Petite précision: la barquette d’emballage est fabriquée à partir de 80 % de PET recyclé.
Nul besoin de renoncer entièrement au sucre
Pour beaucoup, le carême consiste à se retenir un peu et à consommer moins. Il est souvent difficile de renoncer complètement au sucre. Ce qui serait dommage d’ailleurs: le sucré déclenche un sentiment universel de bien-être – un stimulant résultant de l’évolution qui équivaut à une promesse d’énergie. Le moyen le plus rapide d’apaiser la faim. Ce qui ne justifie pas de manger du sucre en grandes quantités – mais peut expliquer l’envie de le faire.
Du sucre qui vaut son pesant d’or
La «douce tentation» a une longue tradition dans notre culture: au début du Moyen Âge, le sucre se présentait principalement sous forme de fruits ou de miel. Ce n’est qu’avec les Croisés, vers 1100 après J.-C., que la canne à sucre est arrivée en Europe. Elle était cependant si chère qu’elle était parfois échangée contre de l’or et de l’argent. Avec l’expansion de sa culture dans les Caraïbes, son prix a quelque peu baissé, mais le sucre est longtemps resté un luxe coûteux réservé aux riches.
Le sucre était jadis considéré comme un aliment sain
Dans un documentaire sur l’histoire culturelle de la cuisine et de l’alimentation, le célèbre chef étoilé Christian Rach explique comment la notion de «dessert» est apparue dans les cours de France au XVIIe siècle. Auparavant, les cercles distingués d’Europe ne faisaient aucune distinction entre le sucré et le salé. Le buffet abondait de toutes sortes de mets. La plupart étaient sucrés, car le sucre était considéré comme sain. Même les huîtres et les poissons étaient sucrés.
Quand on a commencé à faire une distinction entre les desserts et le repas, les cuisiniers et pâtissiers ont littéralement laissé exploser leur créativité. De véritables œuvres d’art en sucre ont été créées; à Venise, par exemple, même des couverts, assiettes et serviettes de table ont été réalisés en sucre.
Découverte de la betterave sucrière
Le sucre réservé aux riches? Ce n’est plus le cas depuis longtemps. Aujourd’hui, «l’or blanc» est accessible à tous. Ce que nous devons à un scientifique allemand, Franz Carl Achard. Grâce à lui, il est devenu possible d’extraire du sucre de la betterave sucrière qui pousse dans nos régions. La première usine de betteraves sucrières au monde a été construite au début du XIXe siècle. Le sucre est alors devenu un produit de masse.
Les desserts sont devenus incontournables
Aujourd’hui, difficile d’imaginer de se passer de sucre. Un délicieux dessert en fin de repas est généralement l’apogée culinaire d’une soirée. Il est intéressant d’observer les préférences dans chaque pays: les Français, les Espagnols et les Anglais, par exemple, ont une prédilection pour les mousses et les crèmes sous toutes leurs formes. Les Suisses, eux, préfèrent la pâtisserie, un segment dans lequel ils occupent une position de leader en Europe. On remarque aussi qu’en matière de mets sucrés, nous misons souvent sur les classiques. Ainsi, la «Coupe Chantilly» ou le «Pot de semoule» d’Emmi sont des desserts très appréciés depuis de nombreuses années. Même pendant le carême.
Notre devise: ne renoncez pas au sucre, mais consommez-le consciemment et veillez aux alternatives à teneur réduite en sucre.